Archive for juin 2009

Solidays : Zone érogène de solidarité (Jour 1)

mardi 30 juin 2009 19:30:00

Affiche Solidays

La 11e édition du festival Solidays organisé par Solidarité Sida, s'est terminée hier après trois jours de festivités. Pour l'occasion, Radio Néo avait envoyé ses meilleurs journalistes (faut bien se lancer des fleurs de temps en temps) pour interviewer les artistes présents à Solidays issus de sa programmation. C'est-à-dire un bon paquet. Cela dit, outre les interviews diffusées prochainement, nous nous sommes baladés à travers le site, pour vous faire partager l'ambiance, la convivialité, et la bonne humeur de ce festival hors du commun.

Solidarité Sida est une association créée en 1992 dans le but de faire reculer le sida.Car rappelons-le, Solidays est un festival militant, crée dans le but de récolter des fonds pour lutter contre le Sida en France et à l’étranger. Mais outre le fait, que le festival propose un paquet d’artistes originaires d’horizons différents, c’est avant tout un très bon centre de remise en forme. Quarante minutes de marche à pied sont nécessaires pour arriver jusqu’à l’espace presse depuis le métro Jean Jaurès sans compter les 4 kilos (au moins) de matériel à trimbaler sous un soleil de plomb. Bref, au programme du vendredi 26 juin, premier jour du festival, cinq interviews programmées, peu de monde encore parcourt les avenues de l’hippodrome de Longchamp.
Aussitôt arrivée à l’espace presse (qui se situe à l’extérieur du festival), Simon de Debout sur le Zinc est prêt pour l’interview. Dix minutes d’entretien, pas plus et je file sur le site l’appareil photo à la main. Neïmo enflamme la scène du Dôme, les manèges s’activent. Le temps passe et les cris s’intensifient. Les bénévoles des stands des diverses associations présentes appellent les festivaliers à écouter leur discours. Les bars et les baraques à frites fument. Il est temps pour moi de retourner à l’espace presse pour l’interview de Neïmo à la sortie de leur concert. « On était tout nus sous nos T-shirt » me disent-ils quand je leur demande si le concert s’était bien passé…Car, les nuages à ce moment là sont partis, laissant allégrement la place au soleil et à une chaleur suffocante. S’en suit un entretien avec Sporto Kantes, Jil Is Lucky, et une conférence de presse de Stuck In The Sound qui s’est transformé à ma plus grande joie en interview, dans la mesure où deux journalistes, dont moi, étaient présents. Quand je les questionne sur la mort de Michael Jackson, ces derniers me répondent qu’ils sont attristés évidemment, et qu’ « il y a une reprise de Michael Jackson disponible sur notre myspace ».

Une fois les interviews terminées, je repars à l’intérieur de Solidays. Et là c’est un tout autre visage du festival que j’aperçois. Les avenues, alors vides il y a quelques heures, fourmillent de monde. La journée se termine pour moi. Le soleil disparaît progressivement pour laisser place aux rumeurs des habitants provisoires de ce lieu éphémère...Je retrouverai demain Caroline, journaliste de Néo, pour une journée qui s’annoncera bien remplie.

A suivre, bientôt, un article sur notre deuxième journée à Solidays .

Mademoise-L

[ © Crédits Photos : Laura Aupiais ]

Lesbian Underworld

samedi 20 juin 2009 11:43:00

Aujourd'hui, j'ai décidé de vous présenter un film au titre accrocheur : Lesbian Vampire Killers ou autrement dit Les tueurs de vampires lesbiennes (mais en français ça fait toujours moins classe). On peut déjà en déduire qu'il y aura dans ce film : des lesbiennes, des vampires, de l'action et de jolies filles (pour ne pas dire des putains de belles nanas). Mais c'est en regardant la bande annonce qu'on comprend que l'on peut ajouter le mot humour anglais à cette longue liste.


Ce film réalisé par Phil Claydon reprend les bases d'un film des années 70 intitulé « Vampyres Lesbos ». Et pour l'histoire c'est très simple. Vous prenez un gros looser, Jimmy Maclaren, largué sept fois par sa copine et un gros naze (dans tous les sens du terme) du nom de Fletch, obèse, abruti et clown. Ensuite, vous les propulsez dans la profonde campagne anglaise pour des vacances dans un trou du cul du monde. Vous y ajoutez une terrible malediction. J'en tremble déjà. Et cette malédiction ne touche que les femmes (sinon c'est pas drôle). A l'âge de leur 18 ans, elles se transforment toutes en vampires et rejoignent avec une satisfaction non négligeable, une secte de Vampires Lesbiennes. Et ces deux gros nuls en puissance doivent sauver le monde de ces affreuses gouines perverses et assoiffées de sang (sinon on ne rigole pas, on s'fait chier).

Cela dit, au regard de ce synopsis, on s'attend à un gros navet fait pour attirer les hétéros frustrés et libidineux. Oui...mais non. Car c'est un film à ne pas prendre au serieux. Ca vanne, c'est drôle, c'est esthétiquement interessant comme le prouve l'extrait au dessus, et c'est léger.
Tout le monde peut y trouver son compte, même les lesbiennes. Et ça c'est formidable. :)




Mademoise-L

I Believe I Can Touch The Sky

mardi 16 juin 2009 00:50:00

Une hôtesse de l'air décrit non sans humour, les quelques règles importantes à respecter à bord d'un avion. Je vous laisser écouter :)
Le son est extrait d'une vidéo que l'on trouve sur Internet...Et pour la petite histoire, sachez que pour comprendre la première blague, il fait véritablement un temps de merde sur Toulouse.



Mademoise-L

La Fille Du Jour

lundi 15 juin 2009 15:56:00

Vané
- Ex Nihilo Vox (Music) -



Paris is burning

jeudi 11 juin 2009 14:06:00









Mademoise-L